En 1793, l'épouse de l'Officier Municipal Le Predour, ouvre une école pour enseigner à lire, à écrire, et expliquer les droits de l'homme.
En 1815, un nommé Le Ferec, crée une école privée.
En 1881, Yves Lazennec en est le directeur et l'unique instituteur. Vu l'affluence du nombre d'élèves, 200 inscrits, il demande en aveu au Maire, Jean-François Messager, de construire une école publique de garçons.
En 1883, un deuxième instituteur y est nommé. Ce n'est autre que le futur Maire, Yves Cazuguel.
En 1885, l'école est construite Rue Saint-Michel au même emplacement que la Mairie. Elle devient très importante, 130 élèves internes, logés chez l'habitant, y sont inscrit. Ils viennent de plusieurs communes voisines. Elle préparait le fameux sésame de l'entrée dans la Fonction Publique, le certificat d'études.
Corentin Cléran, second instituteur, devient le premier adjoint au Maire.
En 1873, une école privée de filles est construite, grâce au legs du vicomte René de Kerret, de Quillien. Elle est dirigée par la Congrégation des Filles du Saint-Esprit, elle est surnommée "Le Couvent". Le nom d'école de Pennanguer est donnée par les Sœurs. Elle sera ensuite rebaptisée école Sainte- Thérèse.
En 1879, une école privée de garçons est construite et est nommée école Saint-Michel, par le Recteur de Brasparts. C'est l'actuelle salle des fêtes.
En 1908, une école publique de garçons, est construite, elle devient le collège appelé CEG ( Collège d'Enseignement Général). Il possède un internat. Il fermera en 1970, faute du nombres d'élève peu élevé. Le bâtiment sert aux classes vertes.
Brasparts est une commune très développée au niveau de l’éducation des enfants. Quatre écoles, des centaines d'élèves venant de communes extérieures sont scolarisés. Grâce au legs de la famille de Kerret, pour les écoles privées, grâce à celui de la municipalité pour les écoles publiques. Comme partout deux camps s'opposaient : les Royalistes contre les Révolutionnaires, les Blancs contre les Rouges, les Monarchiques contre les Républicains et bien évidement, les défenseurs de l'enseignement catholique et ceux de l'école laïque, tant surnommée l'école du Diable.
Ecole Saint-Michel en 1905
Collège des Garçons (Au Centre)
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